Ce matin en allant faire les course au village, je m'énervais tout seul dans ma voiture. Non pas parceque je suivais un quelconque tracteur ou une bétaillére, non parceque je re pensais à "L'Amour", le film dont on nous rabat les oreilles depuis plusieurs semaines, voir plusieurs mois. Sans doute est ce un trés bon film servi par des comédiens d'une trés grande qualité, mais non, vraiment rien ne me tente dans un tel film. Et c'est là que le bat blesse car je n'ai encore entendu aucun critique radio, télé, eux pourtant si prompts à démolir un film, un livre, voire même un comédien, dire quoi que se soit contre ce film. Et là j'ai des doutes. Union sacrée dans la "bobosphére" finalement. Un film qui parle de mort, de fin de vie, même entouré d'amour, brrrrr, cela me fait froid dans le dos. Parallélement à cela nos chers dirigeants tarderaient semble t'il à prendre une décision concernant justement la fin de vie, le droit à l'indivi...
Je viens de terminer la rédaction d'un sorte d'Auto "Bio" graphie Non dégradable et serais ravi de vous la donner à lire! Mais voila, le probléme est qu'elle fait une bonne quarantaine de pages et que je n'ai pas envie de me re taper tout le boulot sur ce blog! Donc les personnes interessées par cette saine lecture n'ont qu'à me laisser un mail et je leur enverrais. C'est en pdf. A moins que quelqu'un m'explique comme tout balancer raidement et facilement sur cette page. En cadeau je joindrais aussi mes textes de chansons sans musique "Politiquement "In" correct! A bientôt.
Qu'il est tenu le fil entre le pas assez, le juste ou le "surjuste"? Telle est la question que je me pose aprés avoir interprété ce week end par deux fois le rôle d'un pauvre type, retraité de surcroit, malade et torturé moralement par mégére... Ce vendredi l'affrontement n'atteignait certes pas le niveau des grandes confrontations entre Burton et Taylor, mais il m'a semblé que ma partenaire et moi avions atteint un palier où la haine cotoyait le mépris, et où la violence verbale était toute préte à laisser place à une violence physique (vous l'aurez compris emporté par le jeu nous étions prés à nous lancer dans un pujilat, les baffes étaient dans les starting blocs...). Par contre le lendemain nous l'avons interprété de façon plus soft, plus tempérée (tellement que je me suis offert un "trou noir" une de ces instants d'environ 5 secondes qui vous semble une éternité, vous avez l'impression de vous réveiller, vous retrouver face ...
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